• Premièrement, je suis persuadée qu’une bonne conciliation entre le travail et les études renforcirait l’autonomie chez les futurs travailleurs. Avoir un emploi, les obligerais à être plus responsables et à bien gérer leur temps, car les étudiants devront avoir une stabilité à l’école ainsi qu’au travail. De plus, les jeunes apprendraient à budgéter ainsi que la véritable valeur de l’argent. Je suis certaine que tant que nous n’achetons pas nos choses par nous-même et que nos parents nous paient tout ce que l’on veut nous ne nous rendons pas compte à quel point la vie coûte cher. Ensuite, les étudiants auront sans doute une ouverture d’esprits qui leur apportera de nouvelles valeurs.

    Deuxièmement, je suis certaine que la conciliation travail/étude prépare tranquillement les jeunes à la vraie vie. C’est-à-dire qu’il n’y a rien de mieux qu’avoir une expérience sur le marché du travail afin de voir ce qui nous attend lorsque nous aurons terminé nos études. En plus, avoir un travail pendant que nous étudions permet dans un premier temps de confirmer nos intérêts et ensuite d’établir de nouveaux contacts, ce qui est très utiles lorsque nous arrivons sur le marché du travail. Finalement, il ne faut pas oublier qu’avoir un travail nous permet d’apprendre autrement, d’ouvrir nos œillets et voir les choses sous un nouvel  angle.


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  • Lundi 19 mars 2012

     

    Blogueurs, blogueuses,

    À chaque année, nous pouvons compter sans arrêt le nombre d’accident causé par la vitesse des automobilistes partout au Québec. Le gouvernement a finalement prit l’initiative d’agir pour améliorer cette situation, ils ont installé des radars-photos que nous voyons de plus en plus sur nos  routes. Je pense que l’installation des radars-photos ne peut qu’améliorer  la situation routière car cela permet premièrement  une meilleur gestion sur les routes et deuxièmement  l’argent qu’ils amènent à la société est réinvesti au Font de la sécurité routière.

    Jessie-Ann Brouillette


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  • L’environnement, un mot que nous entendons dire de plus en plus ces temps-ci, par les écologistes, les politiciens et maintenant la population. Non seulement un mot qui se dit mais aussi des questions qui se posent: Comment pouvons-nous réduire notre empreinte écologique?,  Que peut-on faire pour faire notre part vis-à-vis l’environnement?,  Combien de temps avons-nous pour changer la situation environnementale dans laquelle nous sommes ?

    Aujourd’hui, il y a tellement de sensibilisation faite au niveau de l’environnement et ce depuis les écoles primaire. Les gens veulent faire leur part, ils sont prêts à faire des efforts. Maintenant la vraie question est : Est-ce que l’extrémisme de certains écolos pourrait faire déraper le message vert ? Je pense que la population entière est au courant de la situation environnementale. Par contre, je pense que les extrémistes commencent à faire peur à la population, à la décourager en lui montrant que ces petits gestes ne servent à rien, ce n’est pas vrai. Chaque geste compte même s’il est tout petit.

    Bref, Nadia Vachon je suis totalement en accord avec le fait que les écolos extrémistes pourraient faire déraper le message vert en faisant peur à ceux qui essaient de faire de leur mieux pour l'environnement. En plus, je trouve que le message est en train de bien passer. Il ne faut pas faire peur aux personnes qui sont en train de faire des efforts, mais continuer de les encourager et de valoriser leur geste est, à mon avis, la meilleure façon de valoriser le message environnemental que tous les écologistes veulent passer.


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